L’INITIATIVE PERPETUAL PLANET

DE LA DÉCOUVERTE À LA PROTECTION DE LA PLANÈTE

Pour Hans Wilsdorf, le fondateur de Rolex, le monde était comme un laboratoire à ciel ouvert. Dès les années 1930, il a fait tester ses montres pour valider leur fiabilité dans les endroits les plus inhospitaliers, où des explorateurs qui bravaient l’inconnu les ont soumises aux conditions les plus extrêmes. Mais le monde a changé.

Depuis le début du XXIe siècle, le soutien que Rolex apporte à l’exploration a évolué, la volonté de découverte s’étant enrichie d’un engagement envers la protection de la planète, renforcé par l’Initiative Perpetual Planet. Lancée par la marque en 2019, cette initiative soutient des personnes et des organisations qui mettent à profit la science pour comprendre les défis environnementaux et trouver des solutions pour restaurer nos écosystèmes.

L’Initiative Perpetual Planet se développe rapidement et comprend désormais plus de vingt partenariats. Rolex soutient notamment depuis 2014 le programme Mission Blue de Sylvia Earle, qui préserve les océans par l’intermédiaire d’un réseau d’aires marines protégées nommées Hope Spots. La marque compte également un partenariat renforcé avec National Geographic consacré à l’étude de l’impact du changement climatique. Le programme des Prix Rolex à l’esprit d’entreprise s’inscrit aussi pleinement dans le cadre de l’Initiative Perpetual Planet. Depuis plus de quarante-cinq ans, les Prix Rolex soutiennent des personnes dont les projets novateurs œuvrent au bien de notre planète.

SYLVIA EARLE SUR CALADESI ISLAND, HOPE SPOT SITUÉ DANS LE GOLFE DU MEXIQUE, PRÈS DE DUNEDIN, FLORIDE, OÙ ELLE A GRANDI ET EST TOMBÉE AMOUREUSE DE L’OCÉAN. - Ouvrir la lightbox

DES LIENS DE LONGUE DATE AVEC L’EXPLORATION

Depuis près d’un siècle, Rolex soutient activement l’exploration, associée à des pionniers qui défient les éléments pour se rendre dans les lieux les plus inhospitaliers sur Terre afin d’en apprendre davantage sur les milieux naturels. Réputées pour leur précision et leur fiabilité, les montres Rolex accompagnent dès le début ces intrépides explorateurs sur les plus hauts sommets et au fond des océans. Les expéditions ont toujours représenté pour Rolex les conditions de terrain idéales pour tester et améliorer ses montres.

SIR EDMUND HILLARY ET TENSING NORGAY PARVIENNENT AU SOMMET DE L’EVEREST EN 1953. - Ouvrir la lightbox

EXPLORER LES EXTRÊMES

Rolex est liée à certaines des plus grandes aventures humaines du siècle dernier. En 1933, la marque équipe de montres Oyster une expédition britannique sur l’Everest, puis en 1953, l’expédition historique de sir John Hunt, qui verra sir Edmund Hillary et Tensing Norgay atteindre le Toit du Monde.

Pour marquer cet exploit, Rolex lance l’Explorer en 1953. Par la suite, le modèle sera renforcé par un boîtier plus robuste et son cadran rendu plus lisible – un atout indéniable dans des conditions extrêmes. Depuis, bien que son apparence n’ait pas changé, l’Explorer a bénéficié de toutes les améliorations techniques apportées aux montres Rolex.

En 1954, dans sa volonté de préserver des liens étroits avec le monde de l’exploration, Rolex forme avec la National Geographic Society ce qui s’avérera être l’un de ses partenariats les plus solides.

En 1960, Rolex s’associe à des explorateurs qui visent le fond des océans, plus précisément la fosse des Mariannes, dans le Pacifique Ouest, à une profondeur équivalente à l’altitude de l’Everest, plus quelque 2000 mètres.

Ainsi, Jacques Piccard et Don Walsh pilotent le bathyscaphe Trieste dans les abysses, emportant dans les fonds une Oyster expérimentale, la Deep Sea Special, fixée à l’extérieur du submersible. Lorsque le Trieste refait surface après avoir atteint la profondeur de 10 916 mètres, la montre fonctionne toujours parfaitement, malgré la pression écrasante qu’elle a subie au fond de la mer. Jacques Piccard et Don Walsh auront été durant un demi‑siècle les seules personnes à s’être rendues au fond de la fosse des Mariannes.

Toujours plus présente dans le monde de l’exploration, Rolex lance en 1971 l’Explorer II. Dotée d’un affichage de la date, elle se distingue aussi par une aiguille 24 heures et une lunette fixe graduée qui permettent de différencier les heures du jour de celles de la nuit. Une fonction essentielle pour l’exploration dans des environnements sombres – par exemple une grotte – ou dans des régions polaires, notamment en été, lorsque le soleil ne se couche jamais.

Après le premier voyage habité au fond de la fosse des Mariannes en 1960, le réalisateur et Témoignage Rolex James Cameron a réalisé en 2012 une plongée en solitaire à bord du DEEPSEA CHALLENGER. Une montre expérimentale, la Rolex Deepsea Challenge, était du voyage, attachée au bras articulé du submersible. Étanche à une profondeur de 12 000 mètres, elle a résisté à une pression de plus de 12 tonnes exercée sur sa glace et est ressortie de l’eau en parfait état de marche.

EN 1960, LE TRIESTE, PILOTÉ PAR JACQUES PICCARD ET DON WALSH, PLONGE DANS LES PROFONDEURS DE LA FOSSE DES MARIANNES. - Ouvrir la lightbox

EXPLORATEURS LIÉS À ROLEX

Dans le début des années 1980, puis à l’aube du XXIe siècle, nombre d’explorateurs, dont des alpinistes, des plongeurs et des scientifiques, se sont associés à Rolex ou sont devenus Témoignages de la marque, enchaînant les records et repoussant leurs limites, équipés d’Oyster Perpetual. Outils infaillibles, les montres Rolex les ont accompagnés dans toutes leurs missions :

• Le biologiste américain d’origine allemande George Schaller a joué un rôle déterminant dans la protection de plusieurs régions naturelles. Il a contribué à la création de plus de 20 réserves de par le monde et à la protection d’espèces parmi les plus vulnérables, dont le gorille de montagne en République démocratique du Congo et le léopard des neiges en Mongolie. 

• Le regretté Richard Leakey, biologiste et paléoanthropologue, est réputé pour ses nombreuses découvertes de fossiles liés à l’évolution humaine et pour son engagement en faveur d’une gestion responsable de l’environnement en Afrique de l’Est.

• L’alpiniste américain Ed Viesturs a gravi sans apport d’oxygène les quatorze sommets de plus de 8000 mètres que compte la planète dans le cadre de son projet Endeavor 8000, qu’il a terminé en 2005. 

• L’explorateur et alpiniste belge Alain Hubert a créé en 2002 la Fondation polaire internationale pour encourager la recherche polaire comme une discipline essentielle dans la compréhension du réchauffement climatique. L’institution a levé des fonds pour construire une station de recherche internationale en Antarctique, conçue pour fonctionner uniquement aux énergies renouvelables.

• L’alpiniste helvético-canadien Jean Troillet a établi en 1986 un record de vitesse lors de son ascension de l’Everest par la face nord puis, en 1997, a été le premier à descendre cette même face en snowboard. Il a gravi dix sommets de plus de 8000 mètres, tous sans apport d’oxygène.

• Le Norvégien Rune Gjeldnes, devenu en 2006 la première personne à traverser à skis et sans assistance les trois grandes étendues de glace : le Groenland, l’océan Arctique et l’Antarctique. 

•L’explorateur Steve Boyes, nommé Rolex National Geographic Explorer of the Year en 2019, parcourt les principales rivières d’Afrique pour améliorer la protection de leur biodiversité dans le cadre de la série d’expéditions Great Spine of Africa. Il est épaulé par une équipe de scientifiques qui l’ont auparavant accompagné dans l’exploration du delta de l’Okavango.

• Le plongeur souterrain allemand Robbie Schmittner, dans le cadre de son expédition Xunaan-Ha, a exploré des réseaux de grottes et découvert des traces de pollution dans l’aquifère géant du Yucatán.

•L’alpiniste Dawa Yangzum Sherpa est la première Népalaise à avoir obtenu une certification auprès de l’Union internationale des associations de guides de montagne. Elle est déterminée à ne pas rester la seule et à encourager d’autres femmes à se lancer dans l’alpinisme. 

• Les scientifiques citoyennes Sunniva Sorby et Hilde Fålun Strøm, qui ont créé Hearts in the Ice, sont les premières femmes à avoir passé un hiver dans l’Arctique en autonomie. En prélevant des échantillons et en observant les variations de l’environnement jour après jour, elles ont obtenu des données cruciales sur le réchauffement climatique, qu’elles partagent avec la communauté scientifique internationale.

• Le Canadien Paul Nicklen et sa compagne Cristina Mittermeier, biologiste marine mexicaine, comptent parmi les photographes les plus réputés dans le domaine de la conservation. Ils ont créé la plateforme de storytelling SeaLegacy en 2014 afin d’encourager les échanges et les initiatives dans les domaines du changement climatique et de la conservation des océans.

UN ENGAGEMENT POUR UNE PLANÈTE PERPÉTUELLE
De nos jours, les explorateurs sont de plus en plus soucieux de l’impact humain sur l’équilibre entre les différents écosystèmes terrestres. En conséquence, les projets et expéditions dans lesquels ils se lancent, toujours dictés par une volonté de découverte, attirent désormais l’attention sur la fragilité de la planète et visent à trouver des solutions face aux problèmes environnementaux. Par l’intermédiaire de ses programmes et de ses partenariats, Rolex se tient aux côtés de ces explorateurs et honore son engagement pour une planète perpétuelle.

PRIX ROLEX À L’ESPRIT D’ENTREPRISE
Les Prix Rolex à l’esprit d’entreprise ont été créés en 1976 à l’occasion du 50e anniversaire de l’Oyster, la première montre‑bracelet étanche au monde. Avec ce programme, Rolex soutient des personnes exceptionnelles dont les projets novateurs contribuent à approfondir nos connaissances du monde, à protéger l’environnement – notamment par la préservation d’habitats et d’espèces – et à améliorer les conditions de vie sur Terre. Depuis que le programme existe, les 155 femmes et hommes sélectionnés comme Lauréats ont eu un impact considérable. À l’échelle mondiale, le nombre de personnes ayant bénéficié de leurs projets est estimé à 17 millions. Les Lauréats ont notamment contribué à planter 23 millions d’arbres, à sauver 43 espèces en danger, à protéger 30 écosystèmes majeurs, dont 57 600 km2 de forêt tropicale amazonienne, à découvrir des centaines de nouvelles espèces, à mener 18 expéditions difficiles et à développer 48 technologies innovantes pour des utilisations très variées.

Parmi les explorateurs bénéficiaires du programme figurent notamment Francesco Sauro, qui dirige des expéditions dans des grottes situées dans des montagnes tabulaires isolées d’Amérique du Sud ; Cristian Donoso, qui a exploré les côtes ouest de Patagonie en kayak et recueilli des renseignements pour sensibiliser l’opinion publique sur la valeur de cette région spectaculaire ; Gina Moseley, qui explore les grottes les plus septentrionales sur Terre afin d’approfondir nos connaissances sur l’impact du changement climatique dans l’Arctique ; et Luiz Rocha, qui étudie les coraux profonds afin qu’ils soient mieux protégés.

De nouvelles technologies développées par les Lauréats Rolex permettent de suivre les animaux à la trace et sont des outils indispensables pour sauver des espèces en danger. C’est notamment le cas du Daily Diary du zoologiste britannique Rory Wilson, un petit boîtier qui enregistre des informations essentielles sur le comportement d’animaux aussi variés que des manchots ou des léopards. Le scientifique sud‑africain Louis Liebenberg a conçu le CyberTracker, un dispositif qui permet aux Bochimans du Kalahari d’enregistrer leurs observations d’animaux. Le CyberTracker s’est en outre révélé d’une grande polyvalence d’un point de vue scientifique.

LE PROJET MISSION BLUE DE SYLVIA EARLE
Sylvia Earle, devenue Témoignage Rolex en 1982, joue depuis plus de cinquante ans un rôle pionnier dans l’exploration sous‑marine. En 1970, elle a participé à l’un des programmes d’habitat sous‑marin les plus ambitieux. En tant que membre du projet Tektite II, elle a vécu au sein d’une équipe de scientifiques constituée uniquement de femmes, dans un habitat sous‑marin construit à partir de silos en métal ancrés au fond de la mer dans les îles Vierges américaines, où elle a pris en charge plusieurs missions dans le cadre de ce projet de recherche du gouvernement américain. Engagée pour la cause des océans, elle invite à s’émerveiller de leur beauté et à prendre conscience de la vulnérabilité de leurs écosystèmes.

Depuis 2009, dans le cadre de son initiative Mission Blue, Sylvia Earle encourage communautés et gouvernements à protéger de toute pression humaine des zones marines menacées, baptisées Hope Spots (lieux d’espoir). Essentiels pour de nombreuses communautés dont la survie dépend d’un environnement marin sain, les Hope Spots se distinguent par leur diversité et abritent des espèces endémiques rares ou menacées.


Avec le soutien de Rolex depuis 2014, le nombre de Hope Spots est passé de 50 à plus de 145. Sylvia Earle contribue ainsi à un mouvement mondial qui vise à protéger 30 % des océans d’ici 2030. À l’heure actuelle, 8 % des océans sont protégés.

Certains Hope Spots ont été créés dans des aires marines protégées déjà existantes. Lorsqu’aucune protection n’existe encore et dès l’instant où la candidature pour le statut de Hope Spot est approuvée par le conseil de Mission Blue – en partenariat avec l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) – les démarches de protection débutent avec les populations locales, les organisations environnementales et les gouvernements. Rolex soutient aussi les « champions » de Mission Blue : des personnes et des organisations qui mènent des actions de protection de la nature à l’échelle locale dans leur Hope Spot.

Todd Steiner, champion du Hope Spot des Galapágos, ainsi que Mission Blue et d’autres organisations locales et internationales ont œuvré à la création d’une des premières aires marines protégées bilatérales : un couloir protégé permettant aux animaux de migrer sans encombre entre la réserve de l’île Cocos et celle des îles Galapágos. En décembre 2021, le Costa Rica a augmenté la superficie du parc national des îles Cocos, au cœur du Hope Spot. L’Équateur en a fait de même en janvier 2022 en accroissant la surface de la réserve marine des îles Galapágos.


SYLVIA EARLE, FONDATRICE DE MISSION BLUE, ET ANGÉLIQUE POUPONNEAU, REPRÉSENTANTE D’UN HOPE SPOT, PARTICIPENT AU NETTOYAGE DE LA PLAGE DE ÎLE LONGUE, AUX SEYCHELLES. - Ouvrir la lightbox

NATIONAL GEOGRAPHIC SOCIETY
En 2017, Rolex et la National Geographic Society ont renforcé leurs liens de longue date pour promouvoir l’exploration et la conservation. Les deux partenaires ont uni leurs forces pour mener une série d’expéditions innovantes afin de répondre à des questions clés sur l’incidence du changement climatique sur les environnements vitaux.

Cette association met à profit des compétences scientifiques mondiales et des technologies de pointe pour révéler de nouveaux éléments sur l’effet du changement climatique sur des systèmes essentiels à la vie : les montagnes, qui jouent le rôle de réservoir d’eau de la planète ; les forêts, véritable poumon terrestre ; et les océans, qui servent de système de refroidissement.

MONT EVEREST
La première expédition a eu lieu en 2019 et a eu pour cadre le mont Everest. Sous l’égide de National Geographic et de l’Université Tribhuvan, l’équipe œuvre à une meilleure compréhension des effets du changement climatique sur les glaciers de l’Hindou‑Kouch‑Himalaya, qui alimentent en eau plus d’un milliard de personnes. L’équipe a installé un ensemble de cinq stations météorologiques, dont celle qui était alors la plus haute au monde, juste en dessous du sommet de l’Everest.

Des études biologiques, géologiques et glaciologiques ont été menées dans la région et ont fait l’objet de nombreuses publications scientifiques. Les données collectées grâce à l’expédition ont été mises en parallèle avec les réserves hydrauliques et les besoins en eau relatifs à différentes chaînes de montagnes de la planète. Ce travail a permis la constitution d’un nouvel indice pour évaluer et surveiller l’état des systèmes hydriques les plus vulnérables et les plus importants, et pour permettre de prendre des mesures adéquates pour les protéger.

MONT TUPUNGATO
L’étape suivante a été une expédition qui s’est déroulée début 2021Une équipe d’explorateurs et de scientifiques de National Geographic a installé une station météorologique juste en dessous du sommet du volcan Tupungato, dans la partie sud des Andes.

Cette station, la plus haute station de l’hémisphère sud et de l’hémisphère ouest, permet aux scientifiques de mieux comprendre les processus atmosphériques propres à cette région des Andes chiliennes, dont les glaciers alimentent en eau plus de 6 millions d’habitants de Santiago. Ce « château d’eau » est l’un des plus vulnérables au monde.

MONT LOGAN
En 2021, la glaciologue Alison Criscitiello a gravi le mont Logan au Canada, le deuxième sommet le plus élevé d’Amérique du Nord, avec la géologue Rebecca Haspel et y a installé une station météorologique. L’année suivante, elle a mené une nouvelle expédition sur place et a extrait une carotte de glace à une profondeur de 327 mètres. Cette dernière est une véritable archive climatique, qui permettrait de remonter jusqu’à 30 000 ans.

BASSIN DE L’AMAZONE
En avril 2022, Rolex et la National Geographic Society ont annoncé une série de sept études scientifiques consacrées à l’ensemble du bassin amazonien, des Andes à l'Atlantique, répartie sur deux ans. Les nombreuses sources de dégradation telles que la déforestation, le braconnage, l’agriculture commerciale et le changement climatique ont un impact sur la capacité de l’Amazone à fournir des services écosystémiques essentiels pour la planète tout entière.

Menés par des explorateurs National Geographic, des scientifiques, des auteurs et des membres de communautés locales étudieront le bassin de l’Amazone et mettront en lumière la façon complexe dont tout y est lié. Ils se pencheront par exemple sur le cycle hydrologique du bassin et sur l’impact des inondations saisonnières sur l’eau potable et sur la survie des communautés et de la faune.

Ce travail s’appuiera sur l’Index de vulnérabilité des forêts tropicales (Tropical Forest Vulnerability Index) développé par National Geographic en 2019 avec le soutien de Rolex. Cet index indique que les forêts réagissent différemment à des facteurs de stress tels que la chaleur excessive, la sécheresse, les feux et la pollution, et nécessitent des solutions diverses.

NATIONAL GEOGRAPHIC EXPLORERS FESTIVAL
Rolex soutient le National Geographic Explorers Festival, qui se tient chaque année. Cette rencontre donne aux explorateurs la possibilité de présenter leurs découvertes et leurs solutions pour contribuer à améliorer l’état de la planète. Durant le festival est également remis le titre Rolex National Geographic Explorer of the Year. Décerné par Rolex depuis 2012, il récompense une personne qui joue un rôle de leader dans le domaine de l’exploration, qui propose des solutions pour la planète et qui encourage à œuvrer pour un avenir plus durable.

AUTRES PARTENARIATS CLÉS
ROYAL GEOGRAPHICAL SOCIETY
Bien que Rolex ne se soit officiellement associée à la Royal Geographical Society (RGS) qu’en 2002, la marque a établi des liens avec l’institution dans les années 1930 déjà, lorsqu’elle a commencé à équiper de ses montres des expéditions à l’Everest. Au fil des ans, Rolex a soutenu nombre d’expéditions historiques, dont l’enquête de terrain que la Royal Geographical Society a menée en 1986 à Oman pour étudier l’origine des sables de Wahiba, l’écosystème qui y règne et l’impact des récents changements survenus dans les déserts du pays. L’expédition a permis d’étudier la diversité du terrain et de recenser 16 000 invertébrés, 200 autres espèces animales et 150 plantes locales.

EXPÉDITIONS UNDER THE POLE
Rolex soutient les expéditions Under The Pole, qui repoussent les limites de l’exploration sous‑marine. La première de ces expéditions, Deepsea Under the Pole by Rolex, menée en 2010, a donné lieu à un reportage photographique et cinématographique réalisé sous la banquise arctique proche du pôle Nord géographique. Dans le cadre du programme Twilight Zone Exploration (2017-2021), la dernière expédition en date du projet Under The Pole, plongeurs et scientifiques ont parcouru les mers du globe de l’Arctique à l’Antarctique en passant par les océans Pacifique et Atlantique dans le but d’étudier les écosystèmes et de mener des recherches consacrées à la biologie marine, aux systèmes polaires et à la physiologie des plongeurs. En Polynésie française, ils ont étudié les coraux et leur écosystème dans des conditions de plongée difficiles, dans la zone mésophotique, située environ entre 30 et 150 mètres sous le niveau de la mer. L’expédition a en outre développé et testé une capsule de plongée permettant de rester plus longtemps sous l’eau pour observer la vie marine. La mission a fourni des renseignements capitaux sur les coraux et la santé des océans. L’équipe a aussi identifié le corail le plus profond jamais observé, 172 m sous le niveau de la mer.

L’expédition actuelle, Under the Pole – Deeplife, poursuit les recherches menées en 2021 et aura pour objet les forêts animales marines du monde entier. Mi-2022, l’équipe d’explorateurs et de scientifiques a pris pour point de départ l’archipel norvégien du Svalbard. La suite de l’expédition comprend les îles Canaries et les Caraïbes. L’équipe aura ainsi exploré des eaux arctiques, tempérées et tropicales.

MONACO BLUE INITIATIVE
Rolex soutient la Monaco Blue Initiative, organisée conjointement par l’Institut Océanographique de Monaco et par la Fondation Prince Albert II depuis la première édition en 2011. Scientifiques, protecteurs de l’environnement, représentants gouvernementaux et entrepreneurs se réunissent chaque année pour traiter des défis liés à la protection et la préservation des océans à l’échelle mondiale. Cette rencontre se déroule durant la Monaco Ocean Week, également soutenue par Rolex, une semaine qui voit la principauté devenir le centre mondial de la protection des océans, où se réunissent aussi bien les spécialistes du domaine que le grand public.

ONE OCEAN FOUNDATION ET MENKAB
Rolex soutient One Ocean Foundation et Menkab, deux organisations italiennes qui œuvrent à la protection des cétacés dans deux zones de la Méditerranée, en utilisant des techniques telles que la surveillance acoustique, l’observation et l’ADN environnemental, mais aussi en organisant des activités de sensibilisation. Menkab mène ses projets dans la mer de Ligurie, alors que One Ocean Foundation travaille surtout dans le canyon de Caprera, en Sardaigne. Dans ces deux régions, les canyons sous-marins sont des zones de nourrissage idéales pour de nombreuses espèces, notamment des cétacés rares.

CORAL GARDENERS
Coral Gardeners est née sous l’impulsion d’un groupe de jeunes surfeurs de Mo’orea, en Polynésie française, qui ont décidé d’agir face au dépérissement des récifs de coraux. Fondée en 2017, l’organisation, qui ne cesse de croître, transplante des coraux résistants sur des récifs mourants et encourage des actions similaires dans le monde entier. Titouan Bernicot, le fondateur de Coral Gardeners, a créé un réseau international de scientifiques et de spécialistes en défense d’intérêts afin de renforcer l’action de son organisation et d’exporter son modèle de conservation à d’autres pays.

REWILDING ARGENTINA ET REWILDING CHILE
Il y a trente ans, le regretté Douglas Tompkins et son épouse Kristine ont acquis d’immenses terrains au Chili et en Argentine afin d’y laisser la nature reprendre ses droits et de protéger de nombreuses espèces indigènes. Ils ont mis en place un modèle de gestion durable avec le soutien de la population locale. Dans les années 2000, ils ont commencé à céder les terres aux gouvernements respectifs afin qu’ils y créent des parcs nationaux. Leur don a permis la création de 15 parcs répartis sur les deux pays, sur une surface de 5,6 millions d’hectares. Aujourd’hui, Rewilding Argentina et Rewilding Chile, deux organisations affiliées à Tompkins Conservation mettent en œuvre sa stratégie. Elles travaillent avec les autorités locales dans les deux pays afin de protéger de vastes régions, notamment le parc national d’Iberá, qui représente la plus grande surface protégée en Argentine, et le parc national Patagonia au Chili.

SOUTENIR LES EXPLORATEURS DE DEMAIN
En plus de soutenir des organisations et des initiatives dont la vocation est de susciter une prise de conscience de la fragilité de l’environnement, Rolex favorise l’émergence de nouvelles générations d’explorateurs, de scientifiques et de biologistes de la conservation par l’octroi de bourses.

En 1974, Rolex s’est associée à Our World‑Underwater Scholarship Society, une organisation d’envergure internationale qui œuvre pour les océans avec l’aide d’une vaste communauté de scientifiques. Dans ce contexte, la manufacture contribue à l’octroi de bourses à des jeunes explorateurs qui envisagent une carrière dans la recherche océanographique.

Rolex est associée à The Explorers Club, une organisation fondée en 1904 et située à New York, dont le but est de financer et de promouvoir l’exploration. Fruit de ce partenariat, le programme The Rolex Explorers Club Grants octroie depuis 2017 jusqu’à cinq bourses par an à de jeunes explorateurs.

Rolex soutient également l’Explorers Club’s Global Exploration Summit (GLEX), une rencontre annuelle à laquelle participent de nombreux explorateurs de renom.


Un engagement pour une planète perpétuelle

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